En concevant la Getz, les Coréens ont privilégié le volume du coffre par rapport aux rangements nombreux, estimables lors des longs trajets vacanciers. En garantissant plutôt le confort des passagers, de leurs genoux et des bagages pour des trajets interurbains de longue haleine. Le filet, prévu d'origine, rend l'arrimage des quelques bagages dans la grande malle étonnamment commode. Fidèle à sa politique des petits prix et d'une qualité sans reproche, Hyundai s'adresse à une clientèle à la recherche d'un véhicule sain, fiable en toutes circonstances et capable d'avaler un bon nombre de bornes. Réservée à ceux qui n'ont pas besoin d'une voiture représentative pour flatter leur ego, la Getz trouve sa place tant en ville que sur l'autoroute.
Le modèle testé était équipé d'un courageux diesel trois cylindres remarquablement réussi. Ce turbo diesel moderne à injection directe à rampe commune est complété d'un intercooler pour refroidir l'air d'admission. Quatre soupapes à chaque cylindre consolident les qualités à la fois d'infatigabilité, de puissance et de rendement de ce moteur même à faible régime.
Les consommations sont restées proches des six litres aux cent, bien que l'ordinateur de bord donne des valeurs douteuses de près de sept litres et demi. Le comportement dynamique de la voiture, conforté par des suspensions d'excellente qualité lui permet de jouer de tous les registres avec brio. La garantie de trois ans, kilométrage illimité, rassure son propriétaire sur la valeur de son achat.
L'ordinateur de bord, commandé au tableau de bord, laisse défiler quatre informations à tour de rôle : la consommation moyenne, la température extérieure, le solde d'autonomie et le kilométrage total. Il est dommage que les informations relatives à la consommation fussent aléatoires. Un tarage incorrect de la monte des pneus serait-il en cause ? Autre surprise, l'autonomie disponible sur le restant du plein semblait tellement faible, à peine cinq cents kilomètres pour le plein. Nous avons compris lorsque l'aiguille atteignit le dernier quart du réservoir… trois petits points et l'allumage de la réserve alors qu'il restait plus de dix litres de carburant. Au total, nous aurons parcouru près de sept cents kilomètres sur le plein… Les informations de l'ordinateur de bord nous ont laissés sceptiques.
La météo pluvieuse de ce mois de novembre a largement grevé la consommation. La buée se déposant sur les vitres imposait l'utilisation quasi permanente de l'air-co. La soufflerie du chauffage ne suffisait pas à évacuer la condensation anormale. Enfin, la montre au tableau de bord est à l'usage exclusif du conducteur… le passager à droite ne pouvait pas l'appréhender de sa place.
Ces deux éléments mis à part, la Getz est une voiture à utiliser au quotidien avec des attentions cocasses comme le tiroir compartimenté sous le plancher ou les crochets de suspension pour sacs à provisions dans le coffre.
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Le modèle testé était équipé d'un courageux diesel trois cylindres remarquablement réussi. Ce turbo diesel moderne à injection directe à rampe commune est complété d'un intercooler pour refroidir l'air d'admission. Quatre soupapes à chaque cylindre consolident les qualités à la fois d'infatigabilité, de puissance et de rendement de ce moteur même à faible régime. 
Les consommations sont restées proches des six litres aux cent, bien que l'ordinateur de bord donne des valeurs douteuses de près de sept litres et demi. Le comportement dynamique de la voiture, conforté par des suspensions d'excellente qualité lui permet de jouer de tous les registres avec brio. La garantie de trois ans, kilométrage illimité, rassure son propriétaire sur la valeur de son achat.
L'ordinateur de bord, commandé au tableau de bord, laisse défiler quatre informations à tour de rôle : la consommation moyenne, la température extérieure, le solde d'autonomie et le kilométrage total. Il est dommage que les informations relatives à la consommation fussent aléatoires. Un tarage incorrect de la monte des pneus serait-il en cause ? Autre surprise, l'autonomie disponible sur le restant du plein semblait tellement faible, à peine cinq cents kilomètres pour le plein. Nous avons compris lorsque l'aiguille atteignit le dernier quart du réservoir… trois petits points et l'allumage de la réserve alors qu'il restait plus de dix litres de carburant. Au total, nous aurons parcouru près de sept cents kilomètres sur le plein… Les informations de l'ordinateur de bord nous ont laissés sceptiques.
La météo pluvieuse de ce mois de novembre a largement grevé la consommation. La buée se déposant sur les vitres imposait l'utilisation quasi permanente de l'air-co. La soufflerie du chauffage ne suffisait pas à évacuer la condensation anormale. Enfin, la montre au tableau de bord est à l'usage exclusif du conducteur… le passager à droite ne pouvait pas l'appréhender de sa place. 
Ces deux éléments mis à part, la Getz est une voiture à utiliser au quotidien avec des attentions cocasses comme le tiroir compartimenté sous le plancher ou les crochets de suspension pour sacs à provisions dans le coffre.
